« Music is without a doubt, fluid. There is fluidity in this recording. It is a quintessential quality, structuring the phrasing and organizing the relationships amongst musicians. There are also colors and original tones, giving it an identity, making this music unique. Matthieu Marthouret's great talent also plays a large part, melodiously experimenting with great elegance. He certainly is gifted. I wish Matthieu a long and prosperous musical career! » Liner notes written by Emmanuel Bex (Pianist, organist and composer, one of the most impressive figures of european jazz, fellow musician of Barney Willen, Babick Reinhardt, Philip Catherine…). « This jazz is played with great harmony by musicians from a generation that listened to Pink Floyd and Michael Jackson before listening to Jimmy Smith, Larry Young, Dr. Lonnie Smith and Larry Goldings only to mention organists . Pleasantly convincing! » (Culture Jazz) « The fluidity of the quartet’s music cannot be rivalled. The pieces follow one another like a priceless string of pearls. » (Paris on the move) « He is sitting at his Hammond B3 organ, leading the way. And for a little over fifty-seven minutes, musical magic takes over. (Paris on the move) « Marthouret tames groove and soul, or rather, befriends them, so that they do not need to scream or cry to exist. » (Les dernières nouvelles du jazz) « Sam Barsh, Matthew Marthouret, Jared Gold and Gary Versace are four organists who each in his own way, confirms the influence of Larry Young. Marthouret tackles the instrument in a quiet way and reveals the warmth of its tone, with a repertoire of his own. His pieces emphasize different levels of melody, with clever arrangments » (Jazz Magazine-Jazzman) « The spirit of dance can be felt throughout this album. It is not so frequent in jazz. Let’s not spoil the fun. Let’s come and play on Matthew Marthouret Organ Quartet’s « Playground » ». (Le jarsjasejazz) ____________________________________________________________________________________________________ " La musique, c'est sans doute une fluidité. Il y a cela, dans cet enregistrement.. Cette qualité essentielle, qui structure les phrasés, qui organise les rapports entre les musiciens.. Il y a aussi des couleurs, des tons originaux qui donnent une identité a cette musique, qui font qu'elle est singulière. . Il y a aussi beaucoup le grand talent de Matthieu Marthouret, qui se pose la question du chant avec beaucoup d'élégance. . Il y a un don. Matthieu, longue et belle vie de musique! " EMMANUEL BEX " Ils jouent ensemble avec une grande connivence, le jazz d’une génération qui aura connu Pink Floyd et Michael Jackson avant d’écouter Jimmy Smith, Larry Young, Dr Lonnie Smith ou Larry Goldings pour ne citer, dans ce cas, que les organistes. Agréablement convaincant ! " Thierry Giard (Culture Jazz) " La musique du quatuor est d’une fluidité incomparable et les titres se succèdent comme autant de perles que vous enfilez sur un collier à la valeur inestimable. (…) Un album coloré, lumineux, majestueux. Un album qui vous permettra de baisser la lumière de votre salon et qui illuminera vos pensées. »" Frankie Bluesy Pfeiffer (Paris on the move) " Sandro Zerafa à la guitare, Manu Franchi à la batterie et David Prez au sax ténor sont de la partie pour accompagner l’organiste dans ses compositions. Lui, assis devant son orgue Hammond B3, mène la danse. Et pendant un peu plus de cinquante sept minutes, la magie opère totalement. " Dominique Boulay (Paris move & Blues magazine) " Marthouret dompte le groove et la soul. Plus exactement, il s'en est fait des amis qui n'ont pas besoin de crier ou s'écrier pour exister. Marthouret a dans les doigts une formule magique qui profite au mélomane: il règne une quiétude bienvenue pour l'âme dans « Playground ». " Jérôme Gransac (les Dernières nouvelles du jazz) " Au fur et à mesure que l’album défile, on se plaît à entrer dans cette atmosphère intemporelle qui swingue finement. C’est une musique de danse, qui danse même tout le temps (...). " Sophie Chambon (les Dernières nouvelles du jazz) " Sam Barsh, Matthieu Marthouret, Jared Gold et Gary Versace, quatre organistes, qui chacun à sa manière, confirment l'influence de Larry Young. Marthouret aborde l'instrument de manière posée, pour la chaleur du timbre, autour d'un répertoire de sa plume, servi avec musicalité par Manu Franchi (dm), et qui privilégie le chant selon des tiroirs mélodiques habilement agencés. " Franck Bergerot (Jazzmagazine-Jazzman) " L’esprit de la danse plane sur tout cet album. Il est vrai que ce n’est pas si fréquent dans le Jazz actuel. Ne boudons pas notre plaisir. Allons jouer sur le terrain (Playground) de Matthieu Marthouret et de son Organ Quartet. Et emmenons demoiselles et dames swinguer à ses concerts! " Guillaume Lagrée (le jarsjasejazze) " Aux accents brûlants et funky, il préfère les compositions plus moelleuses d’un post bop souple et décontracté. (...) Il y a de la douceur et un poil de nonchalance dans cette musique.(...) C’est décidément la ligne de conduite du quartette de Marthouret : donner dans le swing et le groove sans aller dans l’excès ni dans l’attendu ou prévisible «soul-jazz». Marthouret adopte sans doute plus les idées d’une certaine scène new-yorkaise actuelle (Trio Fly, Rosenwinkel etc…) que celles d’un «revival» boogaloo. " Jacques Prouvost (Jazzques) " On pourra apprecier le talent où sa musique faisant référence aux leaders du genre, donne sa version personnelle à la fois moderne et dans une tradition de bon goût. Bref un disque sans faute qui devrait plaire intensement aux amateurs de l'orgue qui peut sans crainte s'enorgueillir de continuer la culture jazzistique telle que les maîtres l'ont instituée. " Gérald Mathieu (Fondateur de Jazz notes)