Boleros Perdidos

Boleros Perdidos

  • 流派:Jazz 爵士
  • 语种:英语
  • 发行时间:2007-01-01
  • 类型:录音室专辑

简介

Emit, Tampa Bay's venerable series of concerts focusing on experimental, avant-garde and ethnic music, has really scored a coup with Boleros Perdidos (Love Songs Lost). Led by Miami violinist/composer (and Cuban expatriate) Alfredo Triff, and fronted by gruff-voiced singer Roberto Poveda, the group takes the raw materials of Afro-Cuban music and transforms them into a dissolute, late-night sound of heartbreak. Sublime sadness could hardly be hipper.- Eric Snider, creative loafing.com, October 13, 2007. ********** Débarqué comme par magie du bureau de poste, ce disque n’arrête pas de tourner depuis. D’Alfredo Triff, il demeure gravé en mémoire ses “21 Broken Melodies”, un disque produit par Kip Hanrahan, ami de vingt ans qui voyait en lui “le meilleur violoniste parmi les mathématiciens et le meilleur mathématicien parmi les violonistes.” Et puis il y eut “Mindtrance”, versant minimaliste. Depuis, plus de nouvelles. Jusqu’à ce mois d’avril 2007, et ces “Boleros Perdidos”, un projet dont nous avions parlé avec le natif de La Havane, grandi entre la musique contemporaine et les avancées du jazz latin : « le boléro, au prisme de la décadence de Miami », où il vit désormais. Entre les lignes, une histoire d’amour impossible entre deux êtres plongés dans la névrose urbaine. Voilà ce qu’évoquent ces 18 pièces, paroles et musique ciselées par Triff (hormis quelques reprises), avec percussions et piano, mises en sons surnaturels et habitées par les voix usées et les cordes abîmées, comme ce génial “Delirio” qui obsède et promet de terribles insomnies.- Jacques Denis, Vibration Magazine; Paris, France, August 2007. ********** Boleros comes from the smoke-filled chamber of the heart where grief has grown more familiar -and sweeter- than love. Alfredo Triff’s compositions, punctuated by his haunting violin and Roberto Poveda’s poignantly raw voice, capture the anguished, liquor-kissed hours before dawn when there is nothing left for the soul to do but sing. Each song, like every heartbreak, is at once eternal and achingly new. Boleros is a reminder that what is most seductive about the obscure objects of our desire is not the objects themselves, but the darkness.- Celeste Frazer-Delgado (Music critic, Sun Post), June 2007.

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